samedi 21 novembre 2015

Amarinage

11h d'avion jusqu'à la Réunion, 30 minutes de bus, 16h30 le vendredi 13 novembre, le Marion Dufresne appareille avec à son bord une centaine de passagers, direction les terres australes !


Le Marion à la Réunion
Après la jouvence
Au départ de la Réunion


Un océan bleu roi à 360°, quelques pétrels, des rorquals et l'écume des vagues, les moments passés au soleil sur les passerelles du Marion Dufresne auront été bien agréables. Je n'aurai pas du tout souffert du mal de mer ce qui m'aura permis de parcourir tout le bateau, entre les caisses qui attendent bien sagement d'être débarquées, le matériel océanographique, la mystérieuse salle des commandes, le pc scientifique et le garage de l'hélicoptère. 


Dans l'Océan Indien
Mon endroit préféré sur le bateau (par beau temps !)



Au cours des journées, formations sécurité, médicale et hélicoptère, quelques conférences et un peu de travail au pc scientifique, ponctuées par des horaires de repas peu habituels : 11h pour le déjeuner et 18h pour le dîner. La soirée se termine au Forum, le bar du Marion Dufresne aux délicieux planteurs.



Vue de l'étrave
                                          
Ces quelques jours de navigation ont un air de vacances avant l'arrivée à Crozet. Il est toujours surprenant de se réveiller le matin en sentant le roulis des vagues.



Les premiers oiseaux


Quand les premiers albatros ont pointé leur bec nous savions que Crozet n'était plus très loin. Nous avons franchi la convergence, les eaux sont riches en planctons, les oiseaux arrivent par dizaine, la mer se creuse de vagues bleu nuit, il est temps d'arrimer nos bagages. Les déplacements et repas sur le bateau deviennent quelques peu acrobatiques.

Albatros "surfeur"



Mercredi 18 novembre, l'île de la Possession est en vue.





1 commentaire:

  1. Hello Marine, c'est Julia. Ca fait si longtemps ! Céline m'a envoyé l'adresse de ton blog. Je le suivrai avec fascination ! Quelle merveilleuse aventure. Je te souhaite le meilleur pour cette belle épopée et ne doute pas que tu en sortiras grandie.
    Amitiés depuis Hong Kong (c'est là que j'habite maintenant !)
    Julia

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